Calme avant la tempête

Résumé : L’homme avec qui je vis me transforme doucement au plaisir de la soumission… Je lui ai promis d’être sa chose tout un WE durant tout le WE… Ce qui me conduit à un jeu de piste très croustillant…

17h30, je termine ma réunion et arrivée dans la voiture je m’empresse d’allumer mon mobile.

Un sms d’Alban arrive…

« Au fait… La pommade que tu as étalée ce midi… C’était mon sperme ! »

Je m’étais badigeonnée de son jus d’homme !... Quel cochon… Mais l’idée me plaisait finalement…

Comme convenu, j’envoyai aussitôt un sms à Alban.

« Réunion terminée mon amour »

Aussitôt je reçus sa réponse :

« Très bien ! Je te propose un jeu de piste et en plus tu es dans le timing que je m’étais fixé… Dans la boite à gants de la voiture il a un objet… Tu le mets là où il te reste de la place… Prends une photo… La suite des instructions à réception de la photo sur mon tel… Je t’aime… Tu as bien travaillé ?... Et le plug tu le supporte ? »

Aussitôt lu… Et très intriguée pour la suite des évènements j’ouvris la boite et découvris un écrin de soie…

Dedans… Un autre plug !!

Je compris tout de suite ce qu’il voulait que je fasse…

Je pris donc la route pour me stationner dans un endroit plus tranquille…

Je retroussai ma jupe pour pouvoir écarter les cuisses et donner accès à l’autre orifice offrant la seule place qui me restait…

Je me suis mise à lécher le plug pour le lubrifier et l’insérer plus facilement… J’ai même eu l’indécence de le mettre en entier dans la bouche… Ce qui me fit saliver… Il allait être bien lubrifié !!

J’écartai ensuite mes lèvres intimes pour le positionner à l’entrée de mon vagin… Quelle surprise de constater que j’étais totalement trempée…

Il n’a donc eu aucun mal à se frayer son chemin…

J’eus une terrible envie de jouer avec… mais je pris sur moi car j’étais très pressée de connaître la suite du jeu de piste…

Je pris donc la photo pour l’envoyer à mon homme… Avec les réponses à ses questions :

« Ci-joint la photo… Oui j’ai bien travaillé : 1800€ de commande… Et oui je suis assez étonnée de supporter le plug… »

Je ne voulu pas lui dire qu’en fait çà m’excitait…

Sa réponse fut tout aussi rapide :

« Tu es parfaite ! Tu me plais en salope… Tu te sens capable de marcher avec les deux ? »

Inquiète de lui apporter une réponse juste… Je sortis de la voiture et fis quelques pas…

Quelle délicieuse sensation que d’avoir les orifices remplis en marchant !!! Même si le embase frottait légèrement sur mes cuisses je me sentais capable de pouvoir marcher avec…

Je répondis donc « oui »

Alban de me donner l’instruction suivante :

« Tu as été longue dans ta réponse… Tu vas dans le parking sous-terrain du centre ville… Quand tu y es tu me bip à nouveau ».

Que ce fut bon de se sentir remplie pendant le trajet avec les vibrations de la voiture… 20 min d’ stimulation…

J’arrivai donc au parking sous-terrain… Et tenta de biper Alban… Sauf que dans un parking sous-terrain pas de réseau !!

Je me précipitai donc à l’extérieur… Je compris alors tout la mesure de la question d’Alban…

A chaque pas, chaque marche que je franchissais, j’avais l’impression que j’allais perdre l’objet dans ma chatte…

Je devais en plus certainement être trempée… Donc très lubrifiée !

Enfin arrivée sur la place, j’envoyai comme convenu un sms à Alban…

Il m’appela :

A : Coucou… Tu as fais bonne route ?

E : Oh ouiii…

A : Tu es garée à quel n° de place de parking ?

E : Euh… Je ne sais pas ? Je suis sur l’esplanade là-dessous je ne capte pas !

A : Ok… Ecoute bien… Tu va retourner à ta voiture et tu repères le n°… Quand tu seras ressortie, tu me l’envoies par sms… Ensuite tu te rends dans la grande rue piétonne et tu t’arrêtes au n°69… De là tu me bip… Et dépêche-toi… Sinon tu vas mettre mon planning en l’air !

Et il raccrocha.

Je me suis donc à nouveau précipiter jusqu’à ma voiture pour repérer son emplacement…

Je ne vous explique pas la démarche que je pouvais offrir aux passants de cette fin de samedi après-midi…

Je me mettais sans arrêt la main au postérieur pour essayer de replacer le plug qui ne cessait de glisser…

Et avec ma jupe cintrée sur les hanches je vous assure que ce ne fût pas une sinécure !!

Le coquin d’Alban… Il avait certainement dû préparer son mauvais coup !!

Je fus soulagée d’arriver à l’adresse demandée…

Le n°69 m’avait fait sourire… Qu’avait-il derrière la tête !

Je lui envoyai le sms comme convenu… avec le n° de parking…

Il me rappela…

A : Dis donc petite étourdie… Ne t’avais-je pas dis de me donner le n° une fois sortie du parking ?!

E : Euh si… mais je voulais faire vite !

A : Tu m’a désobéit quand même… Je vais réfléchir à une punition plus sévère… Que celle que je t’avais promise !

E : Pardon mon chéri… Je t’écoute maintenant…

A : OK… Mais ne me désobéis plus !

E : Oui oui mon amour… Tout ce que tu voudras…

A : Ce sera mieux en effet… Bon maintenant tu vas te rendre à la boutique du n°21… Tu y rentres j’ai fait une réservation d’ensembles que je veux que tu essaies… Les vendeuses sont parfaitement au courant et elles doivent te conseiller du comment les porter !

E : Très bien…

A : Quand tu seras dans la cabine, je t’autorise à retirer les plug… Pour chaque ensemble tu te prends en photo… Tu me les montreras ce soir… Ne t’inquiète pas j’ai déjà payé !... Je t’aime… Bip moi quand tu sors…

Et il raccrocha…

Très intriguée par ce qu’il avait prévu je me dépêchai d’aller à la boutique…

Le SALAUD !!!

C’était une boutique de lingerie fine…

Il sait que j’ai horreur d’entrer dans ce genre de magasin… Encore moi d’essayer… Et me faire conseiller….

J’ai dans mon tiroir à dessous une quantité impressionnante de soutien-gorges en tout genre… Pour la plupart que je n’ai jamais portés car soit trop petit, soit trop grand… Evidemment je n’essaie pas !

Je ne me sens pas à l’aise…

Heureusement qu’Alban est là pour me les acheter… Il ne s’est jamais trompé !!...

Il m’achète toujours, en plus de la culotte, le string assorti… Que je ne porte que le seul jour où il me l’achete !!! A son grand désespoir…

Je suis donc restée de très longues minutes devant la boutique… Complètement bloquée…

J’étais partagée entre ma honte… peut-être aussi ma phobie… mais aussi mon envie de me surpasser pour combler l’homme que j’aime…

C’est cette dernière raison qui me poussa dans un seul élan à franchir le pas de la boutique…

Le pas de porte franchi, je me suis retrouvée tétanisée… Le feu aux joues en plus…

Alban avait bien préparé son coup… Très bien même…

Car une vendeuse, une femme d’une quarantaine d’année habillée de façon très élégante est très vite arrivée vers moi pour me demander :

Vendeuse : Vous êtes Mme Emilie ?

E : Oui ?

Vendeuse : Votre mari nous a averties de votre venue… Il nous a tout raconté !

Quoi !?... Mais çà voulait dire quoi tout raconter ?!!!

Vendeuse : Ne vous inquiétez pas madame Emilie… Nous sommes là pour vous bichonner… Vous allez voir votre mari a fait de très jolis choix…

Elle me prit aimablement par le bras pour me diriger dans une grande cabine…

Vendeuse : Ici vous serez plus à l’aise… Vous pouvez commencer à vous déshabillez… Je vous apporte le premier ensemble… Je termine juste avec la cliente d’à coté et je suis entièrement à vous…

E : Très bien madame dis-je le visage écarlate de timidité…

La vendeuse referma le rideau… En plus çà n’était qu’un rideau !!…

Et un homme qui accompagnait sa femme se tenait derrière dans le vestibule…

Je prie tout de suite la mesure de la situation : non seulement j’avais des intrus dans mes orifices intimes… Mais en plus j’étais nue sous mes vêtements…

La première chose que je fis fût de retirer les plug… Et les dissimuler dans mon sac à main !

Le premier fût celui dans mes fesses…

Je fus surprise de sa petitesse, pas plus long et gros qu’un index, et de sa propreté… car il sortait tout de même de mon trou du cul…

Je m’attendais à voir le même que je m’étais introduit dans mon vagin qui était nettement plus gros !... L’équivalence de deux doigts environ…

Je crois que j’ai été déçu de voir qu’il était si petit… J’aurai été fière d’en avoir accepté un plus gros entre mes fesses…

Bizarrement, le fait d’observer ce jouet me détendit…

Je glissais rapidement tout de même dans mon sac pour m’attaquer à l’autre…

Le second sortit de peur tellement j’étais lubrifiée…

Je ne pris même pas la peine de l’essuyer pour le déposer rapidement dans mon sac à main…

La vendeuse m’avait demandé de me déshabiller…

Je restais immobile un instant… Avant de commencer à déboutonner les boutons de mon chemisier…

Après de nouvelles secondes interminables… Je me résignai à le retirer…

J’avais les seins à l’air !...

Je ne sais si ce fut la fraîcheur où mon état d’excitation, mais mes tétons étaient tendus à l’extrême… et très sensibles !

Je me posai la question ensuite si je devais faire tomber ma jupe… Pas du tout habituée à ce genre de magasin, fallait-il que je me mette totalement nue… Faute de porter une culotte…

La vendeuse était plutôt gentille et prévenante… Je décidais donc de retirer ma jupe…

Alors que j’étais penchée en avant pour récupérer ma jupe… Je fus surprise par le bruit du rideau qui s’ouvre…

Avec gaucherie, je me relevai furtivement cachant mon sexe avec ma jupe… Et je constatai affolée que le rideau était ouvert pour moitié…

L’homme était toujours présent dans le couloir… Heureusement que la vendeuse, malgré sa silhouette fine faisait obstacle quelque peu…

Instinctivement je mis ma main gauche sur mon sein droit et avec l’aide de mon avant-bras je me cachai ainsi la poitrine…

La vendeuse me tendit une lingerie verte turquoise…

Vendeuse : voici un premier ensemble… un soutien gorge et un shorty string assorti… votre mari l’a choisi tout spécialement à la couleur de vos yeux…

La cliente d’à coté l’appela…

Si bien que la vendeuse entra dans la cabine pour déposer l’ensemble sur la petite tablette… Et libérant ainsi la vision de l’homme…

Elle sortit sans trop fermer le rideau… Et moi les mains prises… Et aussi paralysée par la situation…

Je ne bougeai pas !

Vendeuse : Pardon madame… Je suis partie si vite que je n’ai pas vu que le rideau était entrouvert…

Elle me gratifia d’un joli sourire cajoleur… Qui me rassura…

Elle resta cependant dans l’entrebâillement… Elle semblait chercher quelque chose dans les miroirs de la cabine… Les 3 autres cotés en étaient pourvus…

Vendeuse : Pardon Madame… Mais pour les essayages, et pour une question d’hygiène, il vaudrait mieux que vous gardiez votre string…

J’étais cuite à point !!!

E : Euh… C’est que je n’en ai pas !

Vendeuse : Attendez… Je vais vous chercher un string coton que nous laverons… Enfilez déjà le soutien-gorge !

Et elle sortit cette fois en refermant le rideau…

Quand elle revînt, mes fesses faisant face à l’entrée de la cabine, j’étais en train de régler les bretelles…

Vendeuse : Laisser madame… Je vais vous faire les bons réglages… Tenez, enfilez déjà çà… et mettez le shorty…

Je m’exécutai…

Tout le temps de mon habillage, elle resta à m’observer…

Vendeuse : Parfait !... Vous êtes parfaite !!... Votre mari ne s’est pas trompé… Vous en avez de la chance qu’il soit si bon observateur !!

Elle ajusta les bretelles comme il se devait… ma poitrine était idéalement soutenue et mise en valeur…

Vendeuse : Vous pouvez vous déshabillez à nouveau, je vais chercher le second choix…

Elle partit aussi vite… Laissant toujours une légère ouverture à la cabine…

L’homme cette fois était parti… Ce qui me rassura… Mais aussi me chiffonna un peu… J’avais osé me montrer à un inconnu… Et il çà m’avait plu malgré tout…

Je me déshabillai donc à nouveau et je pris garde de bien garder le string coton…

La vendeuse pointa à nouveau le bout de son nez avec un ensemble rouge vif : soutien-gorge, string et porte jarretelle… Et des bas noirs…

Vendeuse : vous allez pouvoir l’enlever ce string finalement…votre mari connait très bien votre taille de culotte !!...

Et elle repartit… Et j’enfilai la tenue…

Alors que j’avais le cul tendu à l’entrée de la cabine pour passer le nouveau string … Elle ouvrit le rideau à nouveau…

Vendeuse : Eh bien… votre plastique est faite pour ces petits bouts de soie… Par contre… Si je peux me permettre…

Et joignant le geste à la parole, elle s’était accroupie et dégrafait les jarretelles…

Vendeuse : Trop de femme passe la culotte sur les jarretelles… Car c’est très pratique… Mais là c’est un string ficelle… Et il est plus raffiné de glisser le string sous le porte-jarretelles…

Elle passa effectivement la gaine sur le string et rattacha les jarretelles aux bas…

Elle se releva, ouvrit en grand le rideau pour prendre du recul…

Vendeuse : Vous être très belle madame… Je file chercher la suivante…

Elle referma le rideau… Et moi, avant de me remettre nue… J’admirai cette nouvelle femme en devenir…

A regrets, presque car j’avais tout de même hâte de voir l’ensemble suivant… Je défis les sous-vêtements…

Je suis restée quelques minutes nue à attendre la vendeuse avant qu’elle n’apparaisse avec une guêpière de dentelle blanche et transparente… Le string assorti et des bas blancs…

Vendeuse : votre mari a vraiment de très bons goûts… si vous ne le faites pas craquer avec çà…

Elle posa le tout sur la petite tablette…

Vendeuse : Je vous reprends les autres… Je vais faire préparer le paquet…

C’était la première fois que j’allai porter une guêpière… J’avais toujours considéré que c’était pour des femmes très sophistiquées qui savent s’affirmer… Pas comme moi…

C’est donc avec curiosité que je me dépêchai de la mettre…

Je fis comme me l’avait suggéré la vendeuse… Le string sous les jarretelles…

Le spectacle que je m’offrais me plaisait énormément… Je m’amusais même à me dandiner… Et prendre des poses dans la cabine…

Au retour de la vendeuse, j’eus à nouveau droit à un compliment…

Vendeuse : Je vous envie madame… Vous êtes un ange fatal la dedans !!...

Elle déposa le dernier ensemble sur la tablette…

Vendeuse : Votre mari est aussi un coquin… Voici le dernier ensemble… Il va vous surprendre !

Et elle sortit…

Alban avait jeté son dernier choix sur un ensemble string ficelle ouvert… et un redresse-seins… Bien sûr le porte-jarretelles avec des bas résilles était obligatoire !!!

Quand j’ai eu fini de le revêtir… Je me suis trouvée si vulgaire… Mes seins redressés, tendus, fiers !!

Ma vulve encerclé de deux bouts de ficelle qui passaient de part et d’autre de mes grandes lèvres les faisant ainsi ressortir gonflées… Ce string ne possédait qu’un minuscule morceau de tissu brodé en rose fuchsia qui montrait ma peau lisse du pubis à la vue…

Je n’en revenais pas de ce que je vivais…

La vendeuse me fit sursauter à nouveau quand elle tira en grand le rideau…

Vendeuse : Ne vous inquiétez pas madame… Nous avons fermé le magasin…

E : Pardon… Je vous fais terminer tard…

Il était déjà 19h30 !

Vendeuse : Ne vous inquiétez pas… Ca fait partie de notre travail…

E : Je me dépêche de me déshabiller…

Vendeuse : Je vous en prie… Je suis encore là un petit moment…

Elle semblait à nouveau intriguée par un détail…

Vendeuse : Excusez-moi madame… Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que vous aviez le sexe épilé… Moi je n’ose pas… C’est agréable ?

E : Eh bien… Oui… C’est différent…

Vendeuse : Et çà fait mal ?

E : Euh non… Mais je suis juste rasée… Pas épilée…

Vendeuse : Ah bon… On m’a conseillée de commencer directement par l’épilation… Car le rasage est désagréable après 2 ou 3 jours…

E : Eh bien je vous dirai çà la prochaine fois que je reviendrai… C’est fait de ce matin !

La vendeuse m’adressa un sourire et partit dans le couloir récupérer les bouts de dentelles des essayages de la journée…

C’est donc le rideau ouvert et totalement à mon aise que je me défis des bouts de « ficelles » qui m’agrémentaient…

Une vendeuse revînt récupérer le dernier ensemble ultra sexy pour parfaire le paquet alors que j’étais nue…

Ma jupe mise, au moment où je fermai les derniers boutons de mon chemisier, je me suis rappelé qu’Alban souhaitait que je me prenne en photo…

Dans mon stress du début puis dans l’euphorie finale, j’avais totalement zappé ce détail… Mais il était trop tard… Les vendeuses étaient sur le point de partir…

J’allai certainement être punie… Bizarrement, cette idée me fit sourire !

De même, je ne savais pas si je devais remettre les plug…

La vendeuse qui m’avait conseillée m’annonça effectivement que tout était payé et qu’elle avait glissé une tenue cadeau : une nuisette noire, courte, transparente et nouée sous la poitrine

Je suis sortie de la boutique de lingerie, pour envoyer enfin un sms à Alban…

« Merci mon amour… Tes choix sont excellents… Je suis sortie et j’attends tes nouvelles consignes »

Alban me répondit :

« Va au Pub du l’angle de la rue. Installe-toi au bar. Et attends-moi »

Heureusement que j’y fus en deux minutes à peine… Car mon sac à l’effigie de « charlotte lingerie » écrit en gros avait suffit à me remettre mal à l’aise dans la rue encore assez animée à cette heure…

J’entrai donc dans le pub et m’installa au bar comme demandé…

Le barman… Un très bel homme… Et très musclé sous son t-shirt moulant… Arriva vers moi avec une bière pression...

Barman : Tenez… Votre ami m’a dit que vous arriveriez avant lui et qu’il fallait que je vous fasse patienter avec ce type de collation »

E : Merci… C’est gentil…

J’avais en effet une soif terrible !

Un quart d’heure s’écoula sans qu’Alban n’arrive… Et la bière engloutie aussi !!…

Je décidais d’envoyer un sms à Alban :

« Tu es où mon chéri ? »

Aucune réponse n’arriva… Seulement une seconde bière pression…

Barman : Je ne vais pas vous laisser mourir de soif tout de même !

Etonnée je lui souris et le remercia…

Quand une main vînt se poser sur mon séant et me peloter vulgairement les fesses !

Le baiser de mon amour dans mon cou me rassura tout de suite…

E : Je t’aime… C’est toi qui est en retard dis-moi !

A : Pas du tout… Tout se déroule à merveille… Comment vas-tu ?

Alors qu’il continuait ses caresses appuyées sur mes fesses débordantes légèrement du tabouret de bar… Je lui répondis :

E : Très bien mon amour de coquin… Merci pour tes cadeaux !

A : En parlant de cadeaux… Je ne sens pas le plug dans ton cul ?

Il me remettait gentiment à ma condition de salope… Celle que je lui avais suggérée…

E : Non… La boutique fermait et je n’ai pas eu le temps de les remettre…

A : Eh bien pour ta punition, tu vas de suite aller aux toilettes… Tu mettras seulement le plus gros… Mais dans tes fesses !

E : Vraiment ?

A : Oui… Et stp… J’aimerai que tu n’en profites pas pour satisfaire un besoin naturel…

Alban avait deviné mes intentions… J’étais ébahie de la façon dont il me calculait…

E : Chéri… C’est que je n’y suis pas allé depuis que je suis partie de la maison… Et la bière en plus…

A : Je te le demande…

E : Ok mais je ne vais pas tenir longtemps !

A : Alors dépêche-toi !

Je pris mon sac à main et me dirigeai vers les toilettes… Cabinet de toilette qui s’avérait unique et mixte !...

Que je n’aime pas ces endroits où les hommes se soulagent, parfois ivres, en manquant la grande cible qu’est la cuvette des toilettes !!

Je m’enfermais donc et sorti le gros plug… Pas si gros que çà de prime abord…

Il fallait que je lubrifie non seulement le jouet… mais aussi ma petite rondelle !!

Afin de ne pas mouiller ma jupe, je l’ôtai…

Je passai le plug sous l’eau du robinet… Ce qui ne manqua pas d’amplifier mon envie de pipi… Pour ensuite l’enfourner dans ma bouche et saliver sur l’objet…

Tout pendant, je mouillai mon petit trou avec de l’eau froide… Il n’y avait que de l’eau froide…

Pour ne pas paraître trop longue dans les WC… Je m’empressai de positionner le plug entre mes fesses…

Je dû m’reprendre 4 à 5 fois avant de l’enfoncer entièrement… Lui qui me paraissait pas si gros me donna une légère douleur de déchirement…

Mais en place… La douleur disparut…

Je remis ma jupe et sortit…

Alban m’attendait au bar avec pour lui aussi une bière…

Je m’assis… Et sentis pleinement le plug élargir mes entrailles…

Comme je faisais un O avec ma bouche, Alban sourit et me demanda…

A : Il prends nettement plus de place celui là non ?

E : Oh oui… Mais là je ne vais pas pouvoir rester longtemps assise… Il me presse la vessie…

A : Finissons nos verres et tu pourras te soulager… Tu l’as mis facilement ?

Ne voulant pas le conforter dans ses jugements, je répondis :

E : Non çà a été… Pourquoi ?

Il ne répondit pas et il bu une gorgée un sourire en coin…

En fait il savait…

Moi j’ai bu mon verre presque cul sec… Il fallait que je retourne aux toilettes et le fis comprendre à Alban…

A : Mais je n’ai pas finis moi…

E : Eh bien si j’attends plus longtemps… Je fais dans ma culotte !

A : Pfff… T’as pas de culotte !

Il le dit suffisamment fort pour que les quelques hommes qui étaient aux alentours me regardent !

J’étais devenue rouge comme une pivoine…

Il finit donc son verre d’une traite, régla, me prit par les bras pour que nous puissions sortir…

E : Mais tu m’as dis que je pourrai faire pipi quand nous aurions finis…

A : Oui, c’est ce que j’ai dis… Mais j’ai pas dis où !!

E : Stp… çà urge !!

Il m’a pris amoureusement le bras… Il voulait que je me détende… Et nous sortîmes du pub !

Après quelques dizaines de mettre, nous avons empruntés une ruelle étroite non éclairée…

Nous étions fin mars et la nuit était déjà tombée…

Dans un coin de la ruelle, Alban me lâcha le bras et s’adressa à moi…

A : Là ce sera parfait… Donne-moi ton manteau… Relève ta jupe et soulage toi ma belle !

E : Quoi !? Ici ??

A : Oui ici…

Vexée… J’étais vexée !!

Dans un regard noir, je lui jetai mon sac à main et mon manteau … J’écartai les jambes au fur et à mesure que je relevai ma jupe… Je m’accroupis… Lui offrant une vue imprenable sur mon intimité !!

E : Si tu me regardes je ne vais pas y arriver Alban…

A : Je croyais que çà ne pouvait pas attendre !!… Depuis le temps que je rêve de te voir pisser !!

Je fermai les yeux et me laissai aller à mon envie…

Un jet d’urine puissant sortis… J’étais humiliée !!

Alors que je terminai… J’ouvris les yeux et constatai qu’Alban me filmai avec son portable…

E : Salaud !... T’es dégeulasse de me faire çà…

Je disais cela… Et pourtant… Pourtant j’étais fière de lui démontrer que j’en étais capable…

Quand j’eus fini, je lui demandai de me donner un mouchoir en papier pour m’essuyer… J’avais eu tellement envie que çà avait aussi éclaboussé sur l’intérieur de mes cuisses…

A : Non… Une chienne ça ne s’essuie pas…

De colère je me suis relevée… J’ai remis ma jupe… Je lui ai arraché mon manteau et mon sac !

A : Calme toi chérie… Tu veux qu’on arrête ?

E : Ah non… Je n’ai pas fait tout çà pour rien !!!

Il me prit dans ses bras et me fit un gros câlin !

A : Chérie… Il faut que tu retournes au pub… Tu as oublié tes colis !

Je lui en voulais… Non seulement il faisait de moi ce qu’il voulait… Mais en plus j’étais sotte !!

Quand je suis arrivée dans le pub, le sac qui était au pied du tabouret avait disparu…

C’est le barman qui venait vers moi…

Barman : C’est à vous ça je crois madame ?

E : Oh oui… Merci !

Barman : De rien… Avec plaisir… Très joli ce qu’il y a la dedans !!

m o r t e de honte, je suis sortie très vite !!

Alban m’attendait dans la rue…

Nous marchâmes ensuite en silence dans les rues… Je profitais des sensations que j’éprouvai dans mes fesses pour me détendre et calmer l’animosité que j’avais envers Alban…

Après plus de 20min de marche en silence, nous arrivâmes à sa voiture…

Il me défit, tel un gentleman mon manteau et m’ouvrit la portière…

A : Nous allons diner maintenant…

E : Oui je meure de faim… On va où ?

A : Surprise !!

Quand nous eûmes sortis de la ville, Alban s’arrêta sur le bas coté…

A : Moi aussi j’ai envie de pisser… Tu veux voir comment on fait nous les hommes ?

Ne répondant rien de stupéfaction…

A : Allez descends…

Il se positionna à coté de moi, défie son ceinturon, son bouton de pantalon et sa braguette…

A : Regarde bien petite chienne… il se peut que je te demande de me faire pisser à l’avenir !!

J’étais complètement interloquée !!... Anesthésiée aussi tellement je ne pouvais manifester quoique ce soit…

Et il se mit à uriner… comme si de rien n’était… Et moi je regardais…

Quand il eut terminé…

A : Regarde bien comment on fait pour éliminer les dernières gouttes…

Et il secoua sa bite sous mon nez…

Nous reprîmes la route… Il posa la main sur ma cuisse…

A : Chérie… Tout va bien ?

E : J’avoue que je suis complètement désarmée… Qu’est-ce qui nous arrive ?... Où est-ce que tu veux nous emmener ?

A : Ecoute… Il est tout aussi difficile pour moi de te faire vivre mes fantasmes… Mais si tu le veux on arrête là… Je nous ai réservé un WE dans un relais château sur le bord de la Charente… On y finit le WE en amoureux et s’est tout…

E : T’es sûr ?

A : C’est à toi que je pose la question…

E : Eh bien… Il y a encore d’autres trucs bizarres que tu veux me faire faire ?

A : Je ne vais pas répondre à ta question… Nous avons encore de la route… Prends le temps de réfléchir… Tu sais que je t’aime et que tu peux absolument me faire confiance…

Quelques minutes plus tard… Je posai ma tête sur son épaule et lui agrippai le bras…

E : Continuons mon amour… Je t’ai promis que je serai ta chose… Je veux aller jusqu’au bout…

A : La question n’est pas là mon amour… La question est est-ce que tu en as envie ?

E : OUI… JE LE VEUX…

A : Alors à partir de maintenant et jusqu’à ce que tu te retrouves à poil, tu dégrafes 2 boutons de ton chemisier… Je veux que tu sois ma salope et que tu t’affiches en tant que telle !

Je me suis relevée à nouveau surprise… J’ai obtempéré…

A : Maintenant… Et jusqu’à ce qu’on arrive à l’auberge tu me suces… Et ne me fais pas jouir surtout !

Il dégrafa son pantalon… Sortit son sexe…

Et je le pris en bouche…

Emilie jolie